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La collection des tire-bouchons à hélice s'agrandit avec cette pièce que s'attribue à Boué & Deveson. La cloche réalisée en fil
à ressort très serré ressemble à une ruche, il est d'ailleurs surnommé par nos amis anglosaxons the beehive, ceux qui regardent de temps à autre des dessins animés américains
comprendront facilement pourquoi. C'est avec ce tire-bouchon que je me suis présenté devant un commissaire priseur de Drouot pour l'émission de FR3 régions "Tous à la Brocante".
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C'est mon deuxième tire-bouchon fabriqué par les Etablissements Adolf MENZ (brevet D.R.G.M. No. 1 308 467 du 28 mai 1934). Le
premier n'était pas équipé du système de verrouillage réalisé par une gachette qui s'insère dans la rainure de la tige. Ce système permet de libérer la cage, celle ci pouvant glisser le long
de la tige afin de retirer le bouchon plus aisément, maintenant les deux font la paire. |
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Une première sélection pour un tire-bouchon figuratif, il s'agit de la réprésentation fidèle d'un boxer. Le tire-bouchon est en plomb plaqué
argent, un poinçon frappé "SILVER" se trouve sur la base du cou. Il a été acheté à Romford au Royaume-Uni. |
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Cette quatrième sélection est pour mon premier serpentin, Peg and Worm en angleterre, et littéralement "goupille et mèche". Cet
exemplaire possède un léger pas de vis au millieu du manche (peg) qui permet de le fixer dans l'oeil de la mèche lors de son utilisation. La superbe mèche à spires triangulaires est
remarquable. Il a été acheté à Brighton en Angleterre.
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Le plus grand tire-bouchon de la collection entièrement en aluminium. De facture italienne, iI est vrai assez commun, ce Barman opener
a été breveté par Carlo Gemelli en mars 1959. Il est impressionnant pas sa taille et c'est pour moi le premier parmi les 6 versions existantes de barman, barmaid et clown. Au dos est gravée cette
inscription "A votre santé" en 14 langues différentes! |
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Que dire de ce dernier et bien franchouillard tire-bouchon publicitaire sinon qu'il s'agit d'un apéritif à base de mélange de zestes d'orange
frais et séchés sont macérés dans de l'alcool, puis distillés auquel sont ajoutés des racines de gentiane séchées et du quiquina (qui macèrent séparément), du sirop de sucre et du caramel.
Lancé en 1837 par Gaétan Picon en Algérie, c'est en 1872, qu'il créera une usine à Marseille. En 1995, le Picon se déclinera sous deux formes : Picon bière (l'original, destiné à être mélangé
à des bières légères), et Picon club (pour être mélangé à des vins blancs secs). |